Tu me dis que tu voudrais vivre comme le peuple nomade avec moi. Tu veux t’échapper de la vie civilisée car elle ne te convient pas. Tu vis dans un monde où il n’y a que la musique qui résonne dans notre esprit tous les jours. C’est une musique très passionnée mais mélancolique, la musique des gitans, avec laquelle nous exaltons la vie, l’amour et la douleur venant avec eux.
Je danse sans cesse en suivant ta musique… La cadence s’accélère. Je tourne, tourne de plus en plus vite, jusqu’à ce que j’oublie l’existence de moi-même et que la musique, la danse ainsi que mon esprit soient unis.
Des imams musulmans croient que nous pouvons nous approcher de Dieu en dansant car la musique et la danse nous amèneront dans un état spirituel. Là, nous trouverons la porte pour le Paradis.
En ce moment, tu es mon Dieu. Ta musique est la parole des anges, les anges qui sont tombés pour goûter toutes les sensations et les émotions de l’homme, les anges qui chantent l’envie d’aimer et aussi de mourir. Ils m’appellent avec ta musique envoûtante, murmurant à mon oreille : « Viens avec nous! Entrons dans le rêve le plus profond et mystérieux, le plus chaotique et libre, où l’amour brûle notre vie, et la mort purifie notre âme ! ».
Mais Je ne veux pas. J’ouvre les yeux, m’arrêtant de danser et ta musique s’arrête aussi. Tu me regardes en pleurant silencieusement, comme si tu savais déjà ma décision. Mon guitariste, mon cœur frémit sous tes doigts, mon âme chante comme ton instrument. Mais je ne veux plus. Ton monde est un rêve dont nous ne pouvons jamais nous réveiller mais je m’en lasse.
J’entends encore, quelque part, ta musique résonner. Toujours la mélodie qui agite les âmes et les désirs d’amour mais je ne suis pas là, je ne suis plus là.
Créé dans l'atelier de l'IEFE, Montpellier 3 (Professeur MLB ) à partir des outils d'écriture du site "Concordance"
http://concordance.free.fr
vendredi 30 avril 2010
Le Toucher
«Une goutte de cette potion, sa passion brûlera pour vous.»
Je touchais le flacon de la potion. Il était transparent comme le cristal, brillait sous la lumière sombre de cette petite salle.
Si froid, ce flacon, il me donna des frissons. En le touchant, mes mains devinrent glacées, comme s’il absorbait la chaleur de mon corps ou même mon énergie.
Etant enchanté par cette sensation, je fermais les yeux. Immédiatement, une image passa dans mon esprit : elle, ma déesse, était juste devant moi et me caressait le visage avec ses mains froides ; je pouvais sentir la texture de sa peau, si délicate, si lisse… exactement comme la texture de ce flacon… Comme je voulais la prendre dans les bras maintenant !
La voix de la sorcière me fit revenir à la réalité. «Il faut que vous sachiez que tous les actes et toutes les décisions ont un prix. En lui faisant boire cette potion, vous changerez le destin, la volonté de Dieu ; vous ne pourrez pas regretter, sinon…»
« Je ne regretterai jamais.», jurai-je.
La sorcière sourit, récupéra le flacon des mes mains et le posa sur son autel qui était entouré par plusieurs bougies rouges. Elle commença à prononcer un charme en une langue ancienne que je ne comprenais pas du tout. Tout à coup, la température de la salle monta, la sorcière se tourna vers moi en tenant un poignard. Elle me regardait dans les yeux. «Donnez-moi une goutte de votre sang.».
J’hésitai pendant quelques secondes puis je pris le poignard et me coupai légèrement le doigt. La sorcière laissa tomber mon sang dans le flacon.
La potion qui était transparente comme l’eau, fut teintée de rouge par le sang. La puissance de la passion, de l’amour !
La sorcière posa le flacon dans mes mains. Oh mon Dieu! Il brûla mes mains! Le flacon n’était plus froid ! Il était très chaud comme si la potion bouillait à l’intérieur.
Tout à coup, un sinistre pressentiment m’envahit. J’étais effrayée de posséder ce pouvoir de manipuler la volonté humaine. C’était le pouvoir de Dieu ou celle du Diable ! Je tremblais. Une faible voix résonna au fond de mon cœur : «Ne fais pas ça! Lâche le flacon, Il n’est pas encore trop tard !»
Mais la tentation de l’amour ! Je n’y pouvais résister. Je ne voulais qu’y succomber… même si le prix était ma vie et mon âme !
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Je touchais le flacon de la potion. Il était transparent comme le cristal, brillait sous la lumière sombre de cette petite salle.
Si froid, ce flacon, il me donna des frissons. En le touchant, mes mains devinrent glacées, comme s’il absorbait la chaleur de mon corps ou même mon énergie.
Etant enchanté par cette sensation, je fermais les yeux. Immédiatement, une image passa dans mon esprit : elle, ma déesse, était juste devant moi et me caressait le visage avec ses mains froides ; je pouvais sentir la texture de sa peau, si délicate, si lisse… exactement comme la texture de ce flacon… Comme je voulais la prendre dans les bras maintenant !
La voix de la sorcière me fit revenir à la réalité. «Il faut que vous sachiez que tous les actes et toutes les décisions ont un prix. En lui faisant boire cette potion, vous changerez le destin, la volonté de Dieu ; vous ne pourrez pas regretter, sinon…»
« Je ne regretterai jamais.», jurai-je.
La sorcière sourit, récupéra le flacon des mes mains et le posa sur son autel qui était entouré par plusieurs bougies rouges. Elle commença à prononcer un charme en une langue ancienne que je ne comprenais pas du tout. Tout à coup, la température de la salle monta, la sorcière se tourna vers moi en tenant un poignard. Elle me regardait dans les yeux. «Donnez-moi une goutte de votre sang.».
J’hésitai pendant quelques secondes puis je pris le poignard et me coupai légèrement le doigt. La sorcière laissa tomber mon sang dans le flacon.
La potion qui était transparente comme l’eau, fut teintée de rouge par le sang. La puissance de la passion, de l’amour !
La sorcière posa le flacon dans mes mains. Oh mon Dieu! Il brûla mes mains! Le flacon n’était plus froid ! Il était très chaud comme si la potion bouillait à l’intérieur.
Tout à coup, un sinistre pressentiment m’envahit. J’étais effrayée de posséder ce pouvoir de manipuler la volonté humaine. C’était le pouvoir de Dieu ou celle du Diable ! Je tremblais. Une faible voix résonna au fond de mon cœur : «Ne fais pas ça! Lâche le flacon, Il n’est pas encore trop tard !»
Mais la tentation de l’amour ! Je n’y pouvais résister. Je ne voulais qu’y succomber… même si le prix était ma vie et mon âme !
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L'arôme
Je n’étais pas habituée à l’arôme du parfum.
Mais dès que tu surgis dans ma vie, le parfum devint une clé qui ouvrit la porte de ma mémoire de l’amour.
Oui, je me rappelle encore la chaleur de cet été-là, le jardin plein de fleurs s’épanouissant. Le soleil tropical dont la lumière m’éblouissait s’évaporait et diffusait l’arôme de chaque pétale et de chaque feuille.
Tu t’approchas de moi. Avant que tu parles, je sentis déjà le parfum que tu portais. Si fort, si envoûtant ! Tu étais le roi de ce jardin. Toutes les autres fleurs et plantes étaient soumises à ta fragrance pénétrante. Tu me souris. Dès lors, mes sensations ne servirent qu’à te sentir ; mes yeux, mes oreilles, mon nez, mon cœur… Tous ne fonctionnaient que pour toi. J’étais ivre, ivre de la fragrance des plantes d’été. Ivre de tes effluves. Ivre de ton sourire.
L’arôme du parfum ne dure pas. Il en fut de même pour notre amour.
Tu es parti, me laissant toute seule avec le cœur brisé. Parfois, pour chercher la source d’une odeur qui ressemblait à la tienne, je suivais des hommes tout au long de leur chemin, jusqu’à ce que je sois perdue dans une rue complètement inconnue.
Je devais savoir que ton parfum capiteux symbolisait le danger de l’amour. Mais comme une abeille est attirée par la fleur, je suis tombée dans ton piège parfumé.
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Mais dès que tu surgis dans ma vie, le parfum devint une clé qui ouvrit la porte de ma mémoire de l’amour.
Oui, je me rappelle encore la chaleur de cet été-là, le jardin plein de fleurs s’épanouissant. Le soleil tropical dont la lumière m’éblouissait s’évaporait et diffusait l’arôme de chaque pétale et de chaque feuille.
Tu t’approchas de moi. Avant que tu parles, je sentis déjà le parfum que tu portais. Si fort, si envoûtant ! Tu étais le roi de ce jardin. Toutes les autres fleurs et plantes étaient soumises à ta fragrance pénétrante. Tu me souris. Dès lors, mes sensations ne servirent qu’à te sentir ; mes yeux, mes oreilles, mon nez, mon cœur… Tous ne fonctionnaient que pour toi. J’étais ivre, ivre de la fragrance des plantes d’été. Ivre de tes effluves. Ivre de ton sourire.
L’arôme du parfum ne dure pas. Il en fut de même pour notre amour.
Tu es parti, me laissant toute seule avec le cœur brisé. Parfois, pour chercher la source d’une odeur qui ressemblait à la tienne, je suivais des hommes tout au long de leur chemin, jusqu’à ce que je sois perdue dans une rue complètement inconnue.
Je devais savoir que ton parfum capiteux symbolisait le danger de l’amour. Mais comme une abeille est attirée par la fleur, je suis tombée dans ton piège parfumé.
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L'air
Respirons,
Absorbons l’énergie de l’univers,
Cet air,
Omniprésent mais invisible,
Puissant mais insaisissable.
Qui est-ce qui peut se rappeler sa première bouffée d’air
Quand il est né ?
Qui est-ce qui peut prévoir sa dernière respiration
Avant de quitter ce monde ?
Respirons,
Sentons les messages subtils véhiculés par l’air…
L’arôme des cheveux d’une jeune fille
Qui vient de prendre une douche,
Le parfum des roses
Qu’un garçon offre à son amour.
Mais qu’est cette odeur salée et amère ?
Le vent marin qui siffle en transmettant la nostalgie d’un matelot
Ou les larmes d’une mère qui perdit son fils en guerre ?
Respirons,
Sachons que nous vivons en partageant le même air de cette planète.
Nous sommes tous des enfants de la nature mère.
Ta douleur sera la mienne.
Ma gaieté sera la tienne
Parce que nous puisons notre vitalité dans la même source de vie.
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Absorbons l’énergie de l’univers,
Cet air,
Omniprésent mais invisible,
Puissant mais insaisissable.
Qui est-ce qui peut se rappeler sa première bouffée d’air
Quand il est né ?
Qui est-ce qui peut prévoir sa dernière respiration
Avant de quitter ce monde ?
Respirons,
Sentons les messages subtils véhiculés par l’air…
L’arôme des cheveux d’une jeune fille
Qui vient de prendre une douche,
Le parfum des roses
Qu’un garçon offre à son amour.
Mais qu’est cette odeur salée et amère ?
Le vent marin qui siffle en transmettant la nostalgie d’un matelot
Ou les larmes d’une mère qui perdit son fils en guerre ?
Respirons,
Sachons que nous vivons en partageant le même air de cette planète.
Nous sommes tous des enfants de la nature mère.
Ta douleur sera la mienne.
Ma gaieté sera la tienne
Parce que nous puisons notre vitalité dans la même source de vie.
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Le Carnaval
Je vis ses yeux méchants derrière le masque.
La foule chantait et dansait dans la rue. Le feu d’artifice, la musique et toutes les couleurs vives du carnaval ont inondé cette ville. L’air était rempli par l’odeur de l’alcool et de la sueur. Cette ville était soûle, ivre, folle, en extase. Mais moi, je n’avais pas perdu ma conscience. Au contraire, toute cette folie-là me rendait plus sensible à ce qui se passait autour de moi.
A moment donné, des yeux brillants et méchants me capturèrent comme un chasseur trouvant son gibier. Le possesseur de ces yeux m’a suivie tout le long de mon chemin : un homme en costume noir et masque blanc. Une atmosphère effrayante autour de lui me faisait trembler. Il avait l’air si sombre et si mystérieux, comme s’il était venu de l’enfer.
J’ai commencé à transpirer, pas d’une chaleur extérieure mais de froid, à l’intérieur de mon corps. Je me suis cachée dans le défilé pour qu’il ne me voie plus. Cependant, je le retrouvais toujours derrière moi, à une certaine distance, où que je sois.
Qui était-il ? Que voulait-il ? Je me suis posé ces questions en me mettant à courir. Mon cœur battait à une telle vitesse que je ne pouvais plus réfléchir. Je sentais sans arrêt que le regard de cet homme, si aigu et si lourd comme des milliers d’aiguilles ou la bise, pénétrait dans tout mon corps.
Tout à coup, je suis tombée sur un homme qui était en train de parler avec ses amis. « Excusez-moi! », lui ai-je dit. Il se tourna pour me voir.
Mon sang se gela. Tout le bruit avait disparu. Il n’y avait plus de musique, plus de fête, plus rien. Sauf moi et cet homme, le possesseur de ces yeux méchants. Il était juste devant moi.
J’ai cassé le silence en tremblant : « Qui êtes-vous ? »
« Je suis toi », répondit-il. « Je suis ton cœur et ton désir que tu tentes de cacher. Je suis ton rêve et ton cauchemar que tu tentes d’oublier. Je suis ta peur et ta mémoire que tu tentes d’enterrer. »
«Qu’est-ce que tu veux ? Pourquoi tu ne me laisses pas tranquille ? ».
«Tu refuses de reconnaître mon existence depuis longtemps. C’est pour ça que je te suis. Tout ce que je veux est que tu m’acceptes. »
Tout à coup, il s’est répandu en sang et a coulé vers moi pour m’attraper…
J’ai crié. Ensuite, je me suis réveillée.
C’est le lendemain du carnaval. L’aube commence à éclairer le ciel. Un masque blanc, comme celui que portait l’homme dans mon rêve, est par terre dans ma chambre…
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La foule chantait et dansait dans la rue. Le feu d’artifice, la musique et toutes les couleurs vives du carnaval ont inondé cette ville. L’air était rempli par l’odeur de l’alcool et de la sueur. Cette ville était soûle, ivre, folle, en extase. Mais moi, je n’avais pas perdu ma conscience. Au contraire, toute cette folie-là me rendait plus sensible à ce qui se passait autour de moi.
A moment donné, des yeux brillants et méchants me capturèrent comme un chasseur trouvant son gibier. Le possesseur de ces yeux m’a suivie tout le long de mon chemin : un homme en costume noir et masque blanc. Une atmosphère effrayante autour de lui me faisait trembler. Il avait l’air si sombre et si mystérieux, comme s’il était venu de l’enfer.
J’ai commencé à transpirer, pas d’une chaleur extérieure mais de froid, à l’intérieur de mon corps. Je me suis cachée dans le défilé pour qu’il ne me voie plus. Cependant, je le retrouvais toujours derrière moi, à une certaine distance, où que je sois.
Qui était-il ? Que voulait-il ? Je me suis posé ces questions en me mettant à courir. Mon cœur battait à une telle vitesse que je ne pouvais plus réfléchir. Je sentais sans arrêt que le regard de cet homme, si aigu et si lourd comme des milliers d’aiguilles ou la bise, pénétrait dans tout mon corps.
Tout à coup, je suis tombée sur un homme qui était en train de parler avec ses amis. « Excusez-moi! », lui ai-je dit. Il se tourna pour me voir.
Mon sang se gela. Tout le bruit avait disparu. Il n’y avait plus de musique, plus de fête, plus rien. Sauf moi et cet homme, le possesseur de ces yeux méchants. Il était juste devant moi.
J’ai cassé le silence en tremblant : « Qui êtes-vous ? »
« Je suis toi », répondit-il. « Je suis ton cœur et ton désir que tu tentes de cacher. Je suis ton rêve et ton cauchemar que tu tentes d’oublier. Je suis ta peur et ta mémoire que tu tentes d’enterrer. »
«Qu’est-ce que tu veux ? Pourquoi tu ne me laisses pas tranquille ? ».
«Tu refuses de reconnaître mon existence depuis longtemps. C’est pour ça que je te suis. Tout ce que je veux est que tu m’acceptes. »
Tout à coup, il s’est répandu en sang et a coulé vers moi pour m’attraper…
J’ai crié. Ensuite, je me suis réveillée.
C’est le lendemain du carnaval. L’aube commence à éclairer le ciel. Un masque blanc, comme celui que portait l’homme dans mon rêve, est par terre dans ma chambre…
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Une Lettre d'Amour
Pourquoi Dieu créa-t-il la rose ? C’est pour lui faire honte parce que tes lèvres sont cent fois plus rouges que leurs pétales ?
Pourquoi Dieu mit-il le soleil dans le ciel ? C’est pour lui donner l’envie de se cacher parce que ton sourire éclaire le monde cent fois plus que son rayon?
Pourquoi Dieu nous offrit-il la mer quand tes yeux bleus sont déjà si profonds et si charmants ? Je ne veux que me baigner dedans jusqu’à ce que nous soyons unis.
Tu es la lune dont la lumière soulage ma tristesse.
Tu es la première étoile surgissant le soir pour m’indiquer mon chemin.
Tu es le silence de la nuit qui me permet de tomber dans le plus merveilleux rêve où tu m’enlaces tendrement avec tes cheveux longs et blonds.
Ah mon amour ! Ne pleure pas ! Ton bonheur est le trésor que je veux chercher avec tout ce que j’ai. Dis-moi que tu m’aimes, cent fois, mille fois, je ne serai jamais fatigué d’écouter ta voix.
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Pourquoi Dieu mit-il le soleil dans le ciel ? C’est pour lui donner l’envie de se cacher parce que ton sourire éclaire le monde cent fois plus que son rayon?
Pourquoi Dieu nous offrit-il la mer quand tes yeux bleus sont déjà si profonds et si charmants ? Je ne veux que me baigner dedans jusqu’à ce que nous soyons unis.
Tu es la lune dont la lumière soulage ma tristesse.
Tu es la première étoile surgissant le soir pour m’indiquer mon chemin.
Tu es le silence de la nuit qui me permet de tomber dans le plus merveilleux rêve où tu m’enlaces tendrement avec tes cheveux longs et blonds.
Ah mon amour ! Ne pleure pas ! Ton bonheur est le trésor que je veux chercher avec tout ce que j’ai. Dis-moi que tu m’aimes, cent fois, mille fois, je ne serai jamais fatigué d’écouter ta voix.
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